La vie est dure
Dimanche soir, 23h30 : je finis mon travail d'aujourd'hui, ouf. Après une journée fort remplie à m'occuper de mon fils et du petit chat si mignon mais si petit, le boulot était la cerise sur le gâteau. A vrai dire, vu le temps dont j'ai diposé ce week-end, il n'y avait pas de gâteau. Heureusement, il y avait tout de même des cerises...
Il a aussi été très difficile d'oeuvrer au potager, grâce à la pluie tenace et nourrie qui a arrosé ces deux jours d'été (je rappelle à toutes fins utiles que nous sommes le 17 juin). Un bon vent a tout de même réussi à déformer mon bel Oca du Pérou et à coucher plusieurs de mes plants de tomates. Heureusement, mon super héros de mari a volé au secours de ces végétaux en danger pendant que je restais vissée devant mon travail à l'ordinateur.
Cependant, aussi incroyable que cela puisse paraître, il a fait beau il y a quelques jours et quelques fleurs ont réussi à trouver assez de courage dans les rayons de soleil qui les effleuraient pour sortir leurs pétales...
Enfin, mon pommier prospère dans son coin et nous promet une belle récolte... je me demande déjà si je vais tout manger tout cru ou si je vais résister pour avoir la joie de mordre dans une tarte tatin aux pommes du jardin...
Voilà un petit aperçu de ce que l'on peut voir au jardin...
Quant au reste, il n'y a malheureusement pas grand-chose à voir, à part mon ordinateur, ce qui j'en conviens parfaitement n'est pas folichon. Courage, des temps meilleurs arrivent, plus que 15 horribles jours et ce sera enfin un repos bien mérité avec seulement 7 heures de travail par jour... et presque pas de travail le week-end. La fête, quoi. Si en plus il faisait beau, je ne me plaindrais pas, soit dit en passant...